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L’association qui milite pour une cuisine sociale et écologique

L’Alliance des tables libres et vivantes a pour objet d’améliorer les conditions d’exercice des métiers de la cuisine et la restauration ; d’acquérir de nouveaux droits, de changer les pratiques et les représentations.

Uni·e·s et engagé·e·s

Des professionnel·le·s engagé·e·s pour réformer les métiers de la cuisine et restauration

En constante augmentation, l’Alliance des tables libres et vivantes comptait 70 adhérent·e·s fin 2022. Toutes les structures juridiques ou presque sont représentées parmi nos membres (bistrot, gastronomique, traiteur à vélo, cantines,…), partout en France.

L’association fonctionne grâce aux forces bénévoles dans des groupes de travail et avec le mi-temps salarié de la coordinatrice. Un CA de 6 personnes prend les décisions et se réunit 3 fois par an.

Nos actions

Cuisiner et manger, c’est politique : redonnons du sens aux métiers de la cuisine et restauration

Promouvoir et défendre

4 revendications phares autour des métiers de la restauration – en premier lieu celui des cuisinier·e·s

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Ecrire un projet de loi

Pour réformer le « statut d’artisan-cuisinier·e”. Il protègera les professionnel·le·s aux pratiques durables et sociales et encouragera les autres,

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Fédérer autour d’un projet

L’organisation d’un RDV annuel, “le RDV Politique” pour fédérer autour de notre projet

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Plaidoyer

Pourquoi des tables libres et vivantes ?

Libres d’abord : d’exercer un métier qui nourrit, libéré de contraintes capitalistes : accès juste au foncier, juste rémunération de toute la filière. Libres de ne pas choisir entre « le métier passion » et la vie personnelle sacrifiée. Libres comme émancipé·e·s de toute forme de domination et de performance en cuisine. Libres que nos tables soient ouvertes à toustes. Libres de droit, car nous pensons que les recettes et savoir faire sont faits pour être partagés et n’appartiennent à personne. Libres, mais libres ensemble.

Nous souhaitons des tables vivantes par opposition à toute standardisation et industrialisation de nos métiers, pour en appeler à une agriculture biologique, autour du vivant ; vivantes car nous projetons une vision joyeuse, incarnée de la cuisine. Vivantes car changeantes, au gré des saisons ou de l’intervention du travail des mains.

Vivant·e·s et donc vulnérables face à la mort ou la destruction : protégeons notre vulnérabilité par une organisation forte et collective ! Tout cela au pluriel pour exprimer une volonté de pluralité et égalité dans les métiers.